Die Zauberflöte
Wolfgang Amadeus Mozart

Disponibilités
Le spectacle
« Nous irons grâce à la puissance de la musique, avec joie à travers les ténèbres de la mort. »
Ces quelques mots chantés par Pamina et Tamino suffisent à conférer à Die Zauberflöte de Mozart le titre de manifeste initiatique.
Ils témoignent d’une profonde et inébranlable foi dans le pouvoir bénéfique que l’art des sons procure aux hommes éveillés.
MAGIQUE
SYMBOLIQUE
CAPTIVANT
FÉÉRIQUE
Livret d’Emanuel Schikaneder
Accompagné par l’oiseleur Papageno, le Prince Tamino a promis de délivrer sa bien-aimée, Pamina, fille de la Reine de la Nuit, soi-disant emprisonnée dans le royaume de Sarastro. Muni de sa flûte magique, Tamino découvre un monde bienveillant et le jeune couple est initié aux grandes valeurs humaines… Le triomphe de la lumière sur les ténèbres…
Dès sa création, au Theater auf der Wieden, dans les faubourgs de Vienne, dans ce qui sera le dernier automne du compositeur, Die Zauberflöte enchanta littéralement les spectateurs. Ce singspiel dont le livret avait été conçu par le propriétaire du Théâtre et ami de Mozart, Emanuel Schikaneder, rassemblait les grandes valeurs de la société autour d’un spectacle jovial, coloré et très contrasté. Les idées les plus représentatives du siècle des Lumières y côtoyaient des scènes dignes d’un désopilant vaudeville. La musique et le chant y étaient tour à tour savants et simples, tellement mélodiques qu’il était impossible de quitter le spectacle sans garder bien longtemps en tête les airs les plus joyeux. On y sentait l’effroi de la terrible Reine de la Nuit, les émois de Pamina, les pitreries de Papageno et la sagesse en devenir du Prince Tamino, le tout entouré de la grandeur du guide Sarastro, symbole de la bienveillance. Ce parcours initiatique s’adressait donc à toutes les couches sociales, des moins éduquées aux plus cultivées. Il mettait en valeur, et c’est là sa plus grande réussite, toute la subtilité musicale et philosophique d’un Mozart qui allait tirer sa révérence quelques semaines plus tard.
- DERNIÈRE REPRÉSENTATION À L’ORW
DÉCEMBRE 2015 - PRODUCTION
OPÉRA ROYAL DE WALLONIE-LIÈGE
PALAIS DES BEAUX-ARTS DE CHARLEROI
SA 06 JAN
20H
Direction musicale : Dayner Tafur-Díaz
Distribution
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Direction musicale
Christopher Franklin
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Mise en scène, chorégraphie, lumières et décors
Cécile Roussat
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Mise en scène, chorégraphie, lumières et décors
Julien Lubek
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Décors
Elodie Monet
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Costumes
Sylvie Skinazi
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TAMINO
Cornel Frey
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PAMINA
Tanja Kuhn
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DIE KÖNIGIN DER NACHT (LA REINE DE LA NUIT)
Lucie Kaňková
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SARASTRO / DER SPRECHER (SARASTRO / L’ORATEUR)
Charles Dekeyser
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PAPAGENO
Paul-Armin Edelmann
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PAPAGENA
Adèle Lorenzi
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ERSTE DAME (PREMIÈRE DAME)
Dušica Bijelić
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ZWEITE DAME (DEUXIÈME DAME)
Julie Bailly
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DRITTE DAME (TROISÈME DAME)
Marie-Juliette Ghazarian
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Monostatos
Olivier Trommenschlager
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Maîtrise
Opéra Royal de Wallonie-Liège
DREI KNABEN (LES TROIS GARÇONS)
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Orchestre et Choeur
Opéra Royal de Wallonie-Liège